Un stage de lope chez un gay

Catégories : GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 3 ans
Je lui avais dit que j’avais envie de découvrir et vivre à 100% un stage de lope gay hard.

J’étais juste un peu bisexuel sans plus et mes expériences avec les hommes, étaient vraiment limitées qu’à du « touche pipi », au pire se sucer un peu mais sans aller jusqu’au bout. Et pourtant mes fantasmes eux, étaient vraiment géants à côté de mes expériences réelles.

Dans nos échanges par email, je lui avais donné comme seule limite ma santé et le scato que je ne pourrai pas supporter. A partir de là, il aurait carte blanche pour m’obliger à tout ce qu’il aurait envie. J’avais bien précisé qu’il devrait sûrement m’attacher solidement et user de moyens très contraignants, pour me faire abdiquer. Le no capote était possible si nous faisions tous les deux un test sida.

Au téléphone, Jack m’avait précisé qu’il n’aime pas les fantasmeurs qui n’assument pas et trouvait que j’étais plutôt prétentieux pour un débutant. Ce à quoi j’avais répondu qu’en lui donnant carte blanche pour m’éduquer et me loper, si je n’étais pas à la hauteur, ce serait de sa faute. Il n’avait pas aimé cette réponse !

Le provoquer comme ça régulièrement, me permettait d’imaginer qu’il serait à la hauteur de mes fantasmes. Plus je jouais avec le feu à distance, plus je le sentais monter dans les watts, plus j’étais excité. Jack étant une réel serial master, quel idiot pédant ai-je été !

Le jour J, j’étais nettement moins fier quand j’ai sonné chez lui. Il avait acheté pour une bouchée de pain une bâtisse isolée de paysan montagnard. La grange et l’écurie avaient été réaménagées en donjon moyenâgeux. « Tu pourras crier tant que tu voudras, personne ne pourra t’entendre » m’avait dit Jack. Effectivement, en attendant qu’il m’ouvre la porte, le magnifique paysage de carte postale n’était altéré par aucune maison. J’étais dans le trou du cul du monde, pour lui offrir le mien.

Au lieu de m’ouvrir la porte, il a voulu que je me foute à poil devant sa porte, puis que je mette une grosse cagoule en cuir et des menottes mains dans le dos. Je frissonnais de peur et non pas de froid, en ce mois d’août, après m’être jeté dans la gueule du loup de Gévaudan. Seuls les oiseaux et les lièvres pouvaient venir à ma rescousse ici. Même si j’ai entendu la porte s’ouvrir malgré l’épaisse cagoule laissant ma bouche accessible, j’ai bondi de peur quand il a posé la main sur moi. Il m’a guidé dans la maison après avoir rentré ma valise et mon sac à main. J’y étais enfin et totalement à sa merci. J’avais osé et ne m’étais pas débiné.

La première chose qu’il a fait c’est de me retirer les menottes. Je n’ai pas compris pourquoi il me libérait déjà. Cette liberté n’a pas duré. Il m’a demandé de mettre les bras le long du corps comme si je me mettais au garde à vous. Soudain j’ai senti du cellophane, il tournait autour de moi pour faire une momie. Cela n’a pas duré et il n’en a mis qu’un peu. Immédiatement après c’est avec du scotch de chantier qu’il a continué de me momifier le haut du corps. Très efficace soit dit en passant, car mes bras étaient vraiment plaqués et bien bloqués. J’ai bien senti qu’il laissait mes tétons bien accessibles, cela n’était pas une erreur non, c’était pour garder libre cette partie de mon corps qui allait souffrir.

Il a ensuite retiré la cagoule en m’ordonnant de garde les yeux fermés. Quelques secondes plus tard, il passait un bas sur ma tête. A la suite de quoi, il a recommencé à me momifier avec le gros scotch. Ma bouche et mon nez était accessible bien sûr, mais je me doutais bien que cela n’allait pas durer. Je bandais à mort dans ma cage de chasteté, pour lui il était hors de question que je me branle chez lui. Cette cage, cela faisait une semaine que je la portais, autant dire que l’effet de manque se faisait sentir. Chaque jour, j’avais du lui envoyer une photo du plombs en plastique. En fait, ma chasteté il s’en moquait, il avait juste cherché à m’exciter à mort, pour que je ne lui pose pas un lapin, et cela avait marché.

J’ai eu horriblement peur quand, il a passé une corde autour de mon cou. J’ai cru qu’il voulait me pendre. Mais non, c’était juste pour me sécuriser quand il a entrepris de momifier mes jambes, comme il m’avait fait avec mon corps. Si la corde du pendu n’avait pas été là, je serais tombé car au bout d’un moment, quand on est cellophané on perd l’équilibre. Il a retiré la corde et m’a porté sur un lit ou je me suis écroulé comme un sac de patates.

J’ai découvert d’une façon particulière que Jack a du savoir vivre. Il a décidé de partager une bière avec moi à sa façon. La becquet des oiseaux vous connaissez ? Et bien la bière à la becquet ce n’est pas terrible. La boire dans la bouche d’un mec, c’est original. Pour moi qui n’avais jamais embrassé un mec, j’étais servi ! Ma bouche a du lui plaire, il m’a roulé une pelle d’enfer et comme je ne lui répondais pas assez, il s’en ait pris à mes tétons d’une main pendant que de l’autre il pinçait mon nez. Entre la douleur et le manque d’air, je n’ai plus résisté à son baiser. Jack aime bien embrasser, cela a duré un moment. Je me suis fait manger la bouche et même un peu fouiller par sa grosse langue de rapace.

Jack s’est ensuite attaqué à mon sexe. Il a retiré la cage de chasteté, non pas pour me faire une gâterie mais un sévère bondage de couilles. Au départ, je ne comprenais pas ce qu’il faisait debout sur le lit, je n’ai pas tardé à comprendre quand mes couilles se sont mises à monter vers le plafond. Cela restait soft comme douleur, mais je me doutais bien que cela n’allait pas durer. Quelques instants plus tard, mes tétons m’ont rapporté qu’il leur avait posé des pinces japonaises. Ces saloperies font mal, mais c’est encore pire, quand la corde qui remonte vos couilles vers le plafond est attachée à la chaînette de ces pinces.

Ce grand malade m’a fait pivoter sur le lit pour faire un quart de tour. Mes précieuses et mes tétines n’ont pas apprécié. Quand j’ai crié, il m’a dit que j’avais bien le temps de crier et que cela ne faisait que commencer. Ma tête pendait dans le vide au bord du lit quand il l’a soulevée pour la placer sur un socle. Le dit socle, je ne l’ai vu que plus tard, c’est un cube de WC bricolé de façon à ce que la tête soit coincée dans le trou. Et là, alors que je me demandais ce qui m’attendait, ses fesses m’ont renseigné. L’horreur !

Jack m’a traité de lèche cul et, pour me donner du coeur à l’ouvrage, il a tiré sur la corde. Mes couilles et mes tétons m’ont clairement dit, de ne pas faire la fine bouche et de lui sucer le fion sans discuter. Moi qui n’était qu’un bi léger n’ayant joué qu’à touche pipi, j’entrais dans la cours des gays hard. Cela a duré deux plombes, ce pervers visionnait des vidéos gay sur Fessestivites pendant que je lui léchais le fion. Cela a du l’exciter car, au bout d’un moment il s’est levé de ses WC maison pour retirer le cube et me coller sa bite dans la bouche.

La tête dans le vide, je sentais ses couilles sur mon nez pendant qu’il savourait sans bouger ma langue jouant avec son gland. La bête est devenue très dure, très longue aussi un peu trop à mon goût car elle arrivait au fond de ma gorge. Plusieurs fois j’ai cru que j’allais vomir ou mourir étouffé. J’en suis arrivé à regretter qu’il ne soit pas précoce, même si je n’avais encore jamais bouffé du sperme. Avec les précieuses à moitiés arrachées et les tétons étirés par les pinces japonaises en plus de la momification, je ne risquais pas de fuir. J’étais vraiment réduit au rang de vide couilles.

Ce qui devait arriver et sortir de la verge devenue dure comme de la pierre arriva par saccade. Bondagé dans la position où j’étais avec sa main accrochée aux cordes « motivantes », je n’avais aucune chance de me débiner. J’ai du avaler son sperme visqueux très amer et même bien nettoyer son gland, puis aspirer la dernière goutte de son précieux jus d’homme.

Hard, c’était vraiment hard pour moi et le pire, c’est que cela ne faisait que commencer.

Jack a remis le cube sous ma tête pour soulager mes vertèbres cervicales puis, sans me prévenir, a retiré les pinces japonaises de mes tétons. La douleur horrible m’a fait hurler, j’ai cru que j’allais m’évanouir. Dans sa grande gentillesse, il m’a donné à boire avec un biberon. Jack n’est pas ABDL, mais il trouve que le biberon pour faire boire un mec attaché c’est pratique, tout comme la couche, cela évite qu’une lope mouille sa maison ou son lit quand il en garde une avec lui pour dormir, enfin, surtout pour le pomper ou le boire le matin.

Quand il a retiré son bondage de couilles, j’ai cru que j’allais jouir tant cette libération m’a soulagé. Ce sadique a posé un Penilex d’ABCplaisir sur la verge en m’expliquant ce que c’est. Cela ressemble à un préservatif mais percé au bout pour y mettre une poche à urine en me disant qu’il était gentil et que le tuyau pourrait aller dans ma bouche ! ! !

Il m’a laissé attaché là, épuisé par cette expérience hard pour moi, j’ai fini par m’endormir. Ce sont des voix qui m’ont réveillé une seconde fois, bien plus tard. La première, c’est quand ma vessie a eu besoin de faire une vidange. La poche a urine a été retirée ainsi que le Penilex et une bouche m’a nettoyé la queue. Ce n’était pas Jack, je l’entendais discuter dans la pièce. Il y avait donc deux autres personnes au moins, et ça, ce n’était pas prévu.

Un cul s’est posé sur mon visage, j’ai regretté celui de Jack, celui là avait un parfum de transpiration. Je n’ai pas eu le choix, encore une fois, surtout que des pinces digitales cette fois m’ont aidé à laper. Mes tétons encore endoloris ont insisté pour que je m’applique et lèche avec conviction ce cul inconnu. Ces enfoirés ont pris l’apéro sans moi, un homme est venu me donner la becquet à la bière et en a profité pour me rouler une pelle. Comme l’apéro durait, j’ai commencé à m’inquiéter. En effet, la bière..... Je n’avais pas mis d’autres limites que ma santé et le scato, c’est bien ce que j’aurai du faire.

Une heure plus tard, j’ai donc été initié par Jack, aidé par un rustre sauvage qui a posé son pied là où cela fait vite très mal. Il m’a été indiqué que si je perdais une goutte de ce précieux breuvage, on me pendrait par les couilles, après avoir joué au foot avec. Le pied posé dessus a un peu insisté comme pour me convaincre, qu’il fallait que je fasse un gros effort. Le champagne des lopes se savoure chaud m’a dit Jack en plantant ses doigts sur mes tétons, pendant que le pied driblait gentiment avec deux petits ballons. J’ai senti la queue vibrer avant que le breuvage arrive, quand on est dans la position où j’étais et avec autant de moyens de persuasion, on ne résiste pas, on avale.

On avale vite par peur et pour ne pas trop savourer le goût qui n’est pas aussi horrible que je l’imaginais, surtout après des bières. C’est chaud et salé avec un parfum bizarre, par chance, Jack arrivait à doser sa vidange où je n’aurai jamais pu tout boire d’un coup. Je dis ça parce que j’ai eu l’impression qu’il y en avait des litres alors que chez l'adulte, la vessie dispose d'une capacité de stockage d'environ 300 à 500 ml. J’ai prié le seigneur du BDSM, pour que les autres mecs aillent lever la patte dehors car je n’aurai pas pu en boire plus.

L’un d’eux est venu me faire bouffer des biscuits apéro et m’a donné un biberon d’eau, je l’ai béni car le goût résiduel du breuvage de Jack, était quand même fort. Ce devait être un soumis car j’ai bien senti qu’ils jouaient avec lui, quand ils ont retiré le cube sous ma tête. Le mec a du mettre sa queue dans ma bouche avec interdiction d’en bouger, pendant qu’il se faisait tanner les fesses. Au bruit et ses réactions, je crois qu’il prenait cher mais le pire, c’est que ça la fait bander. Et du coup, sous les coups... il s’enfonçait de plus en plus profondément dans la bouche.

Lui tanner les fesses a du les exciter, Jack l’a obligé à prendre ma queue en bouche avec interdiction de me faire jouir pendant qu’il le sodomisait. Ma tête et surtout ma gorge m’ont permis de partager son plaisir de son cassage de cul en règle. Malgré lui, les mouvements de rein se répercutaient aussi sur sa bouche, et donc sur ma queue qui commençait à grossir et a avoir des envies. Quand il l’a senti, il s’est arrêté l’enfoiré ! Encore un soumis trop obéissant.

L’horreur est arrivée quelques secondes plus tard, sous la forme d’un cul de soumis qui s’est posé sur mon visage. J’ai crié « non », deux coups de pieds dans les couilles m’ont fait abdiquer. J’ai léché le cul d’un mec qui venait de se faire baiser. Par chance, il était propre et avait juste un goût de lubrifiant. Mais bon quand même, pour un bi léger débutant chez les gays, mes limites même pas fantasmées, venaient d’être explosées !

Entre le champagne, les culs à lécher et les pipes, je venais de prendre cher en moins de six heures ! Et ce stage était loin d’être terminé !

J’avais toujours la tête en bas quand j’ai senti mes jambes se relever. Ils les ont plié en deux pour ramener mes genoux sur ma poitrine. Jack a posé un gros collier autour de mon cou et a y attaché une corde pour maintenir mes jambes pliées. Mon fessier exposé devait, pour des gays, être une cible pour leur bite, c’est du moins ce que j’ai pensé. Et bien non ! Jack a commencé par me fesser à la main, puis avec une canne ou un truc comme ça. Ce qui les amusait, c’était de voir ma rondelle se contracter sous les coups. Ils y ont mis leur doigt à tour de rôle pour la sentir palpiter chaque fois que j’avais mal. Un jeu douloureux qui ne m’apporta aucun plaisir, mais qui les amusait follement.

« Allez, je vais me faire son cul de puceau mais avant, on va laisser « soumisot » lui préparer la rondelle » a déclaré Jack. Pendant qu’ils picolaient, le soumis m’a léché le cul avec passion. Il jouait même à y faire entrer sa langue comme si c’était un petit pénis. Même si j’étais puceau, mon petit derrière n’était pas « neuf », chez ABCplaisir j’avais déjà acheté pas mal de gode et de plug. Si bien que quand Jack est venu poser son gland sur ma petite rondelle étoilée, elle n’était même pas contractée.

Je l’ai quand même sentie passer sa bite, surtout qu’il n’y avait comme lubrifiant que la salive de « soumisot ». Si la position favorisait « l’ouverture » elle favorisait aussi « la profondeur » ! Comme Jack prenait un grand plaisir à me dire « jusqu’à la garde » et bien je peux vous dire qu’au début, « jusqu’à la garde » ça fait mal. Bon, qu’au début parce qu’au bout d’un moment, j’ai adoré me faire défoncer. Mes « ha » ont du motiver le Maître présent qui a profité que ma bouche était ouverte pour y loger sa bite.

A ce moment là, j’ai fini par décoller, planer, surfer, je n’étais plus qu’une écluse ouverte savourant les passages.

Jack l’a senti, il s’est retiré et a commenté les contactions de ma « pastille ». Elle se contractait toute seule, mais il ne l’a pas laissée tranquille, non, il a fallut, et c’est très bien, qu’il y revienne. Alors que je planais, j’ai senti du chaud dans ma bouche, le Maître devait penser que j’avais soif. Sa main s’est serrée sur ma gorge, un peu comme pour me dire que je n’avais pas intérêt à perdre une goutte de son offrande. Et là, paradoxalement et contrairement à toute logique, j’ai joui sans permission. Je ne savais pas qu’il fallait que je demande mais de toute façon, je ne pense pas que j’aurai pu me contrôler puisque c’est arrivé, sans que je me sente venir.

Soumisot a du venir me faire une toilette « linguistique » avant que la punition arrive. Un doigt de moutarde sur le gland et l’anus pendant une fessée monumentale. Au départ c’est horrible, après c’est bizarre, c’est comme si on ne sentait plus vraiment la douleur. Cela fait mal mais en même temps, on plane.

Quand ils ont libéré mes jambes et m’ont poussé par terre, j’étais dans un état second. J’ai léché des pieds et je me frottais à ceux de Jack comme une chatte en chaleur. Moi faire ça sans même qu’on ait besoin de me motiver à coup de ceinture ou de fouet. Je ne me reconnaissait plus, je faisais des choses de folies inimaginable et j’étais bien. J’ai appris plus tard que quand on arrive au « subspace », on navigue à l’aveugle sans plus aucune limite.

Cet état ne dure pas, quel dommage. Le retour sur terre est assez dur. Je me souviens qu’ils m’ont mis sous une couverture et après que je pleurais. Pourquoi je pleurais ? Je n’en sais rien ! Je ne leur en voulais pas, c’est moi qui avait voulu vivre un stage de lope. Bon, d’accord, je ne m’attendais pas à ce que cela soit aussi hard et qu’il y ait du monde en plus de Jack mais cela ne justifiait pas de pleurer !

Un long moment plus tard, j’étais couché dans le lit de Jack. Il m’avait libéré que mes jambes, mes bras et ma tête étaient toujours « emballés ». J’ai senti qu’il me mettait une couche pour personne incontinente et du scotch en guise de culotte. Un drôle de pyjama, nous en conviendrons. Je n’ai compris les raisons de cette tenue que le lendemain.

Pour commencer, Jack est un lève tard. Il n’avait donc pas envie d’être réveillé par un mec, qui a envie de pisser. Ensuite, parce que, à l’heure où les missiles masculins montent en même temps que le soleil, celui de Jack tient à sa gâterie. En guise de café, pour un bi léger, c’est hard ! Quand je lui ai demandé de ne pas aller jusqu’au bout, il m’a donné une gifle ! Une vraie gifle qui m’a permis de comprendre qu’il n’est vraiment pas du matin. La purge effectuée, il s’est tourné et s’est rendormi en me laissant avec un goût amer dans la bouche. L’enfoiré !

Quand il a fini par se lever, il m’a ignoré et c’est très bien, je n’aime pas les gifles. Même si je me suis fait discret, il ne m’a pas oublié. Attrapé par l’oreille, je fus conduis dehors et poussé jusqu’à la grange. En découvrant son donjon j’ai pris peur. Il m’a attaché, plié en deux sur un carcan. Mes jambes étaient attachées en V et ma tête étaient bloquée dans un pilori. Une barre passant sous mon ventre, m’interdisait toute possibilité d’esquive.

Jack a attrapé un espèce de petit tonneau sur roulettes d’où dépassait un tuyau et un fil électrique. J’étais terrorisé. Après l’avoir branché sur le secteur, il l’a mis en route et a dirigé le tuyau sur ma verge qui a été aspirée. Et là j’ai compris qu’il me mettait à la trayeuse ! Et puis il est parti ! ! !

La trayeuse cela ne fait pas que traire. Quand c’est sur une bite, cela branle !

Au début c’est intriguant.

Ensuite c’est agréable.

Ensuite c’est jouissif

Ensuite c’est beaucoup trop jouissif.

Ensuite on rêve que cela s’arrête mais avez-vous déjà essayé de discuter avec une trayeuse vous ? Et bien je peux vous dire qu’elle ne comprends rien ou que c’est une forte tête, ou plutôt une forte suceuse !

Très sincèrement, je pense qu’à la fin, je devais éjaculer en poudre et qu’à chaque fois, j’avais l’impression de mourir !

Lorsque Jack est revenu une très grosse heure plus tard, je n’étais plus qu’une loque, un véritable pantin de chair. Il m’a aidé à revenir à la maison où il m’a permis de me doucher, en restant avec moi parce qu’il avait peur que je m’écroule. Après m’avoir fait prendre un petit déjeuner, il m’a envoyé dormir car pour lui, je ne pouvais pas prendre la route dans cet état.

Vers 16 heures, j’avais récupéré mes affaires et ma cage de chasteté. Elle était dans mon sac, la mettre n’aurait servi à rien, j’avais été purgé pour quinze jours. Quand en guise de poignet de mains il m’a roulé une pelle, je n’ai pas résisté allez donc savoir pourquoi ?

Fin

TSM

Notre de l’auteur : on m’a demandé récemment si je pouvais écrire une histoire gay avec une lope à « déniaiser ». C’est donc chose faite.

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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